"A la Conquête de l'espace"

Sujet: "A la Conquête de l'espace" Sam 27 Mar 2010 - 10:26

Et bien voilà, j'ai repris un projet que je m'étais lancé depuis plusieurs années, que j'avais malheureusement laissé en suspent, à savoir écrire mon livre de Science-Fiction/Réel. Qu'est ce que ce terme? Et bien tout simplement, cela veut dire que ce livre seras de la Science-Fiction mais cela restera plausible (du moins pour le premier tome). J'ai fait des recherches pour l'écrire et lu pas mal de notes de la NASA ou d'autres organismes travaillant sur des projet spatiaux réalisable. Bref, passons le blabla ^^, je vais vous laisser découvrir cela par vous même. Critiques accepté (si construite ^^) ainsi que recommandation:

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CHAPITRE I

L’Humanité, espèces encore jeune comparée à l’âge de notre univers ; jeune et pourtant si arrogante et assoiffée de pouvoir. Il en faut toujours plus aux Hommes. Et en ce XXIème siècle, cette soif de pouvoir est tournée vers l’espace et sa conquête. Depuis 1969, date a laquelle Neil Armstrong mit le premier pas sur la Lune, l’Homme n’a cessé de rêver « conquérir » d’autres planètes tel que Mars. Mais pour arriver à ces fins, il lui faut de la puissance. Et cette puissance il va la trouver dans des constructions titanesques : les vaisseaux spatiaux.

Nous sommes le 15 février 2010. Un homme, le professeur Jean Herber, scientifique français ayant la cinquantaine, part au centre aérospatial du CNRS à Toulouse où il travaille. C’était un homme grand et assez maigre, les cheveux grisonnants et de petites lunettes rondes sur le bout du nez.

En début d’après-midi, il part faire un cour d’astronomie au lycée voisin du centre. Aujourd’hui, celui-ci porte sur la possible colonisation de Mars :

- Professeur ? dit un élève, pourquoi n’y a-t-il eu aucun voyage
vers Mars jusqu’à présent ? C’est un problème de technologie ?

- Et bien il y a plusieurs raisons à cela, rétorqua le professeur Herber.
La plus évidente, et elle est en effet technologique, c’est la puissance de nos propulseurs spatiaux. En effet cela prendrait environ 6 à 9 mois de faire un aller simple sur Mars avec les moyens actuels, donc je pense que c’est au niveau propulsion que nous ne sommes pas au point.

- Mais professeur, comment pourrions nous résoudre le problème de
propulsion? s’interrogea une élève.

- L’antimatière, jubila le professeur.

- Qu’est ce que c’est professeur ?

- Et bien ce sont des particules que l’on trouve à l’état naturel dans
l’espace, on appelle aussi cela la matière noire.

- Mais comment pouvons nous la « récolter » professeur ?

Le professeur Herber n’eu pas le temps de finir : la sonnerie sonna dans tout l’établissement.

- Bien nous reparlerons de tout ça demain. N’oubliez pas de me rendre vos
travaux avant la fin de semaine.

- Professeur, je peux vous poser une dernière question ? lui dit un
élève en s’approchant de son bureau.

- Je vous en pris, faites.

- Pourquoi le gouvernement ne semble pas plus emballé par les vols dans
l’espace ? C’est passionnant pourtant.

- Passionnant pour vous, mais le gouvernement est trop sur ses sous pour
financer de tel projet même si cela a évolué. Et puis il y a surement d’autres priorités comme s’occuper de notre planète avant d’aller en visiter une autre.

L’élève eu un sourire que le professeur lui rendit,
puis il quitta la salle.

Le professeur resta seul un moment dans ses pensées
avant d’en être tiré par une voix :

- Et bien cher ami, encore en train de rêvasser ?

C’était le professeur John Rider. Un homme d’une soixantaine d’années, grand et fort physiquement, de part son ancien poste de joueur de foot américain. En effet, il était d’origine américaine avec un passé
professionnel très impressionnant : il était l’un des professeurs les plus
renommé de la NASA. Il y a de ça une dizaine d’année, il a rejoint la France
pour travailler en tant que professeur au CNRS en attendant sa retraite. A la NASA il s’occupait de projet sur l’antimatière, comme créer un réacteur qui fonctionnerait grâce à ses particules.
Tout deux ont le même rêve qui les a menés à travailler dans des centres de recherche spatial : la construction d’un vaisseau spatial capable
d’emmener des hommes sur Mars, voir d’autres planètes ou d’autres systèmes solaires, cela en très peu de temps :

- Je vous attendais mon cher. Allons déjeuner.

- Avec plaisir. Je vous suis.

Les deux amis déjeunaient à la cafétéria du lycée et parlait comme à leur habitude de leur sujet favoris : l’antimatière :

- Alors cher professeur, où en êtes vous dans vos travaux ? demanda le professeur Rider à son ami.

- Et bien je viens
de finir ma thèse sur l’antimatière, dit fièrement le professeur Herber. Et je compte bien l’envoyer dès demain au Gouvernement français.

Stupéfait,le professeur Rider ouvrit de grands yeux et poursuivit :

- Pensez-vous que cela soit raisonnable ? Il risque peut être de vous prendre pour un fou.

- Je prends le risque avec grand plaisir, dit-il d’un ton grave.

Le professeur Rider sentit dans le ton de son ami qu’il valait mieux ne pas le dissuader de cette démarche :

- Bien professeur, dans ce cas je vous appuie dans votre démarche.

- Merci mon ami, je pense que votre soutient ne sera pas de trop.

- Mais laissez-moi vous poser une question.

Le professeur Herber acquiesça d’un signe de la tête :

- Dans quel but faites vous cela ?

- J’espère attirer l’attention du Gouvernement sur la possibilité de créer un vaisseau spatial ayant des réacteurs à antimatière.

- Et bien voilà qui me semble audacieux … mais cela vaut le coup, à mon goût.

-Merci mon ami. Oula, je n’ai pas vu l’heure, mes élèves m’attendent pour mon cour en amphithéâtre.

- Je ne vous retiendrais donc pas plus longtemps.

Les deux amis se quittèrent donc sur cette discussion et reprirent leurs activités.

Une semaine passa sans aucun signe de réponse de la part du destinataire de la thèse du professeur Herber. Celui-ci commençait à s’impatienter et il le faisait savoir :

- Vous aviez raison John, je crois bien qu’ils ne m’ont pas pris au sérieux, dit-il dépiter.

- Voyons professeur, cela ne fait qu’une semaine, dit le professeur Rider avec un grand sourire.

- Une semaine c’est long mon ami, désolé de vous imposer mon impatience.

- C’est naturel surtout lorsque l’on connait l’enjeu de cette thèse. Mais vous savez Jean, comme on le dit si bien dans de telle situation, patience est mère de vertu.

- Et bien je vais m’efforcer d’être patient dans ce cas, souris le professeur Herber.

- Je crois que c’est le mieux pour vous en effet.

Soudain ils furent interrompus dans leur discussion. La porte de la salle où ils se trouvaient fut ouverte avec fracas.

- Bonjour messieurs. Désolé d’interrompre votre discussion professeur Herber et Professeur Rider mais des militaires requiert votre présence dans le hall de l’université. Ils sont semble plutôt insistant.

C’était le doyen de l’université qui venait d’entrer dans la salle. C’était un homme petit et trapu qui se rattrapait par sa grande connaissance des astres.

- Et bien professeur Herber, peut être que vous avez été entendu en fin de compte.

- C’est possible, mais pas de conclusion hâtive, allons voir ce qu’ils nous veulent, dit-il avec impatience. "

Sujet: Re: "A la Conquête de l'espace" Dim 28 Mar 2010 - 20:25

Vue 10 fois et aucun commentaire ..... pas très concluant :s

Sujet: Re: "A la Conquête de l'espace" Dim 28 Mar 2010 - 20:56

j'ai pas le courage de lire, je suis toute la journée dans les livres en ce moment, alors quand je fais une pause, c'est dur. Mais j'ai bientôt un peu de vacances, alors je lirai ça

Sujet: Re: "A la Conquête de l'espace" Lun 29 Mar 2010 - 11:20

T'inquiète j'ai juste pas eu le temps de t'en écrire un !!!
mais sinon c'est pas mal quelque truc a amélioré, notamment quand tu décrit tes perso sinon l'histoire peu être bien!!!